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News HRP | News RPG | Personnage | Quête | 'Mutantes News'


Une histoire d'Ange!!! Postée le 25/07/2006 à 18h25 ~ Commentaires(2)
ж Harkange ж
[Piéce d'or : 3095 ]
Niveau 8

Mutation :
3023 / 3823



Partie IV : Des plumes et du poulet!

Je me souviens encore de cette soirée ou je l'ais vu pour la toute première fois, je pense que je m'en souviendrais encore et encore. Je pense aussi que le jour viendra ou son peuple aura eu la reconnaissance qu'il mérite. Je pourrais alors dire à mes petits enfants que j'ai connu l'ange protecteur du Queens!!

Je suis ce que les jeunes appellent un poulet, un flic! Je me nomme Jack Roberts et à l'époque je n'était qu'un petit policier sans avenir, mais un policier né dans ce quartier, respecté par ces jeunes.

Houla, excusez moi, cela n'est pas le principal vous en conviendrez!

C'était lors d'une dur nuit de l'hiver 1998, pendant les émeutes annuelle, de noël dans notre si beau quartier!

Je faisais une patrouille avec mon coequipier Bucky.
Haha, sacré Bucky, ce bleu était tout droit sortie de son formatage à l'école de police. Il faisait parti de la nouvelle génération de policier créés pour traiter la jeunesse comme de la racaille et vider les rues des criminels sans ce soucier du reste. Un justicier des temps moderne.

Nous arrivions sur une intervention, des jeunes étaient en train de détruire le GMC du coin, juste en face de l'église baptiste du père Mickael. La voiture s'arreta et je sortie de celle dernière.
Ils me dévigeagèrent pendant quelques secondes, puis se regardèrent et s'apprétaient à filer! Quand l'un d'eux sorti son arme pour la laisser au sol!

Comme je vous l'ais deja dit, j'étais respecté dans le quartier et les jeunes savaient que je ne souhaitais que les aider pour qu'ils ne répétent pas les erreurs passées de leurs paires. Ce genre de choses arrivaient fréquement que l'on m'offre des pièces à conviction de la sorte.

Mais mon bleu de coéquipier ne voyait pas les choses sous cet angle. D'un coup il bondit en dehors de la voiture et sans sommation tira sur ces petits chenapants.

L'arme fut rammassée et les coups de feux commencèrent à retentir dans tout le quartier. Ma première réaction fut de crier stop, mais il était trop tard.

Une douleur atroce s'empara de moi, je me retrouvais allongé dans le canivaux me tenant le ventre, le sang coulant sur mes doigt.

Tout d'un coup je me sentis euphorique et heureux, je regardais autour de moi et tous le monde semblait détenduent.

Et c'est la que je le vue pour la première fois, il descendit des cieux les ailes déployées et se posa au milieu de nous. Tous le monde le regardait avec un grand sourir de contemplation et tous le monde posa son arme à terre.

Je cherchais Bucky des yeux, lui n'avait pas l'ai du même avis que le reste, il tomba genoux à terre, se mis la tête dans les mains et commença à pleurer.

le bruit d'une ambulance retentit enfin, je regardait dans cette direction et quand je me retournais il n'était plus la. Les jeunes était parti et le père Mickaël accouru avec une trousse médicale vers ma direction.

Après ça Bucky fut interné dans un institu pour poulet déplumé! Et le maire me nomma inspecteur et me décora d'une médaille pour avoir réglé cette situation sans trop de casse.

Mais je savais que l'auteur de cet acte n'était pas moi, mais l'Ange du Queens!


Partie V : les Anges de la grosse pomme!

Être un Humain avec des capacités hors du commun n'est pas une chose facile, alors être un mutant avec les mêmes capacités et de ne pouvoir sans défaire dans le civil doit être une chose bien dur!

A ce que m'as dit son père adoptif un jour, nos pères étaient amis et de plus collegues dans leurs luttes dans la foi et la paix. Je pense que c'est une des raisons qui m'a poussé à le prendre sous mon aile!

Pour lui éviter de faire les mêmes erreurs que moi quand le père Mickaël fut tué il y a quatre ans.
Je m'appels Samuel Wilson et je suis natif de Harlem, mais les gens normaux me connaissent plus sous le pseudonyme du Faucon!

Huygo est devenu en quelques mois mon petit frère de coeur! Je sais que cela peux paraitre dur à croire mais moi aussi j'ai un coeur!

Nous avons pendant quelques temps fait équipe lui et moi! Nous avions surnommé un soir de fête, notre petite entreprise du nom : les anges de New York!

Ce que Harkange aimait par dessus tout à cette époque et ce qu'il aime encore maintenant je pense, c'était de voler avec les siens!

En découvrant que le monde mutant possédait beaucoup d'ailés comme lui, cela lui remit du beaume au coeur! Et comme je vous le disais il adore voler avec eux!

Mais aussi sauver des vies! Pas que nous soyons des héros! Pas que nous voulons être connus et reconnus pour nos fait, n'y même pour nous vanter! Mais sauvez des vies dans nos quartiers mal fréquentés et rendre services aux gens à toujours plus au petit ange du Queens.

Je ne sais pas comment il faisait, mais des qu'il entrait quelque part, il pouvait redonner goût à la vie à tous les personnes défavorisés.

Il n'a jamais voulu en parler, mais je pense bien que le petit frère à dévéllopé une sorte de mutation secondaire, lui permettant d'influer sur les émotions des gens!

Cependant il s'en est toujours servit... ... ... pour rendre les gens plus heureux qu'il ne l'était pendant un temps!


[HRP] voila la seconde partie de l'histoire d'Harkange, toujours relaté par les personnes qu'il a cotoyées lors de sa vie avant les X-mens! J'attend vos remarque positive et négative sur son histoire, de façon à faire une suite meilleure que les deux premières![/HRP]


Les flammes du passé... Postée le 25/07/2006 à 17h28 ~ Commentaires(3)
ж Afreet ж
[Piéce d'or : 4118753 ]
Niveau 21

Mutation :
24076 / 32188



Froideur, compassion, mort, douleur, colère, solitude, mystère englobent le passé d’Afreet. Au-delà de ses mots, la facette cachée d’Afreet se dévoile enfin…Grande réjouissance? Ou horrible malheur? Vous en jugerez par votre conscience intérieure qui peut importe son penchant, elle vous donnera froid dans le dos… Vous désirez plonger dans ses leitmotive passés, qui recèlent les pires atrocités? Alors, laissez-vous emporter par votre curiosité en lisant les lignes qui suivront…


Tout à commencer la nuit d’un soir sombre. Les cieux obscurs comme les événements qui allaient se produire déchargeaient de longues lueurs, brèves et ramifiées, dans un éclat lumineux. Chagrinés par cette colère, les nuages larmoyaient, laissant tomber des hydrométéores féroces qui percutaient le sol, en dégageant une puissante rage. Dans une petite maison, très modeste, régnait un épais silence. Inquiétant ou rassurant? À l’étage supérieur, somnolait un jeune tourbillon de haine. Il subissait à longueur de jour, la colère de honte de ses parents, et ce, physiquement. Il s’agissait d’Afreet. Dans ses nombreuses indignations, ses parents ainsi que son obtus de frère avaient pu constater qu’il était un enfant anormal. Car, n’étant point en mesure de contrôler son pouvoir, celui-ci surgissait donc durant ses colères. Depuis là, ils voulaient sa mort…

Donc, alors qu’il tentait de dormir, tant bien que mal, un grincement sinua le silence opaque. Un bruit de pas. Un second. Silence. Il redressa occultement ma tête. Trois silhouettes, bien présentes. Des linéaments rappelant celle d’un couteau flottaient dans chacune de leurs mains. Elles rutilaient malgré le noir. Il sentait la froideur de la lame dans son corps. Ils s’approchèrent lentement, avec une subtilité ridicule. Afreet attendait le moment idoine. Pourtant, il perlait de sueur froide. Il vit, la rutilance des lames dans la noirceur, puis, plus rien sauf une vague de chaleur dans son corps. Un regard devant lui, plus rien, seulement des flammes infernales. Devant lui, trois humanoïdes qui braisent comme le brasier du feu. Des cris horribles. La maisonnette s’embrase.

Il courut à l’extérieur. Il se tourna vers la maison, qui était maintenant rendue qu’un feu de douleur. Un feu qui brûle toutes ses années de souffrances passées avec sa famille. Ce n’était que les prémices de ses futures souffrances... La pluie humidifiait le résultat de sa haine… Il regarda son désastre jusqu’au tout dernier halo orangé…

La solitude rongea ses membres toute son adolescence. Il arpentait des venelles sombres comme son esprit vers des lieux inconnus tel un vagabond. Un soir alors que le cosmos laissait dévoiler sa beauté étoilée et que le nectar de la nature fleurait l’atmosphère, il rôdait dans une ruelle très peu éclairée par les rares réverbères qui émanaient qu’une lueur blafarde. Il jeta un regard derrière lui, croyant avoir entendu un bruit inusité. Une ombre vaporeuse se dissipa rapidement derrière un réverbère. Illusion ou réalité? Il continua sa démarche à pas léger comme l’air. Un son cristallin à peine perceptible ondula le silence. Il se tourna et fut assailli par une bande d’individus. Il perdit connaissance vélocement en raison des multiples coups de poing au visage.

À son réveil, il se retrouvait dans un lieu plutôt étrange. Les murs étaient ramollis par la vieillesse, moisie même. La place était humide et désagréable. La salle était éclairée par une lampe à l’auréole blonde ne dégageant qu’une faible lueur. Bref, elle n’avait rien d’attrayant. Un homme aux allures sombre, affichant un air austère malgré sa petite taille, s’approcha d’Afreet et dit sur un ton auguste qu’il n’avait rien à craindre étant donné que tout le monde autour de lui était des mutants. Aussi, il a ajouté qu’il l’observait depuis un certain temps et qu’il désirait le voir parmi ses rangs de son clan cryptique. Il a aussi mentionné à Afreet qu’il était recherché par la Confrérie et les X-mens. Ne connaissant point ses deux affiliations, Afreet haussa les épaules et lui afficha un regard aigu cachant ma perplexité. Après maintes réflexions sous les regards inquisiteurs des autres mutants, Il accepta en un hochement de tête fluide et décidé son offre.

Il eut une sorte de cérémonie en l’honneur d’Afreet. Ce-dernier trouvait ce rituel plutôt futile. Les membres, désignés à cette fin, s’agenouillaient devant le maître. Le grand maître suprême du clan lui donna pour nom Afreet, réincarnant l’esprit du feu, en raison de son pouvoir immolateur qui les tétanisés chaque fois qu’il en faisait la démonstration. Ce clan partait souvent en mission d’espionnage contre la Confrérie, désirant aller à l’encontre de leur plan. Afreet eut la nette impression que les pires ennemis de cette coterie tarderez par à contre-attaquer. En effet, quelques jours après s’avoir associé à eux, ils fûment attaqués par des membres de la Confrérie. Ils tuèrent un à un les mutants, sous le regard neutre d’Afreet , tous tombèrent sous d’énormes convulsions, sauf lui. Ils le saisirent et l’apportèrent à leur si dévoué Magneto sans la moindre émotion.

Ne connaissant point la réputation de celui-ci, Afreet n’y porta guère plus attention. S’attendant à un discours fastidieux de sa part, qui vanterait tous ses mérites et il ne fessait que la sourde d’oreille refusant toutes ses propositions. Ses yeux étaient ivres de le voir avec la Confrérie. Outré par son comportement, il mailla une tige de fer et l’immobilisa avec celle-ci en exerçant une pression âpre. Afreet sera les dents en pointant un noir regard qui dans le plus profond de ses pupilles dansait des flammes de colère endiablées. Il resta assis sur son trône, attendant le moment qui espérait enfin arriver sous ses iris. Un sourire avide de pouvoir se silhouetta sur son visage. Une intense chaleur envahit la pièce. Devant ce maître du métal, Afreet était agenouillé brûlant d’une horrible rage. Les flammes réintègrent son corps en proie à une impétueuse fatigue. Les bras croisés, Magneto l’oberservait d’un œil vif. Puis, il claqua du doigt, ordonnant à ses si dévoués serviteurs de venir. Un mutant s’approcha d’Afreet, seringue en main. Il lui injecta une dose de morphine. Les paupières d’Afreet se firent lourdes. Puis il tomba dans l’inconscient.

Les effets morphiniques s’estompèrent. Afreet papillota ses yeux avec lenteur. Un néon lui éblouissait la vue. Il tourna difficilement la tête et vit son bras interconnecté de tubes, qui étaient reliés à ses canaux organiques, alimentés à une substance insolite. Il constata qu’il était étendu sur une table d’opération expérimentale. Personne ne l’entourait. Il se redressa impavidement et lâcha une plainte sourde. Une terrible douleur sillonnait son corps comme un serpent qui parcourt sa proie. Il arracha les multiples tubes qui étaient cristallisés sur son bras par des tiges métalliques. Une à une, elles tombèrent par terre avec des filets de sang rouge pourpre visqueux et opaque.

Il posa pieds à terre. Il était dans une sorte de laboratoire d’expérience. Étrangement, la salle semblait vide. Il fit un pas en avant, retenant sa douleur. Il vit une porte au fond de la salle. Alors qui posait sa main sur la poignée de porte, celle-ci s’entortilla sur son poignet. Il serra les dents et se retourna pour voir le légendaire et non le moindre, Magneto qui abordait un rictus ainsi qu’un regard inquisiteur. Afreet leva la main libre pour lui faire un salue digne de noblesse cachant sous un air impadive sa folâtrerie. Fixant ses iris jusqu’aux visères, il détournait son attention, en créant une intense fusion sur la poignée. Magento prit la parole.




Il dit de ne pas m’évader. La poignée de porte céda. Il ajouta, que ses scientifiques avaient injecté à Afreet une substance qui augmenterait la force de ses pouvoirs. Il mentionna aussi qu’il était désormais à son service et part malheur s’il défiait son autorité, il en subirait les conséquences. Magneto regarda le cadran et son visage prit un air satanique. La substance venait de faire effet. Afreet tomba à genou, son corps prit feu en dégageant une chaleur transandante. Dans l’ombre de ce brasier vivant, on pouvait voir des yeux rouges vif qui dansaient de haine. Magneto était sastisfait au plus haut point. Il se frotta les mains, il était enfin aux fers du Maître.

La Confrérie tira profit de son pouvoir jusqu’au jour où il devint âpre de tout son esprit. N’étant plus capable de le contrôler, Magneto ordonna à ses intercesseurs de le torturer et d’ensuite le laisser mourir dans le néant sablonneux, le désert. Lieu le plus arride pour vivre. La torture d’une phénoménale morbidité rembrunit Afreet. Le supplice du fouet, la chaleur glaciale de l’azote liquide sur le corps, lacérations, cautérisation au fer rouge, voilà le palmarès de ses souffrances. Comme prévu ils s’en démunirent en le jetant dans la Vallé de la Mort, sans eau pour survire. Cette vallée portait drôlement bien son nom. Son pouvoir, ne lui serait donc d’aucune utilité, il mettrait en péril sa vie. Il marcha sous un soleil mortel maudissant la Confrérie. Les douleurs de la géhenne lui martelaient la tête. Il s’écroula sur le sol sableux le teint livide. Il sentait la froideur de la mort, qui gelait son corps lentement…

Le reste de son passé est vague comme la mer enfouie dans les abyssses de son esprit…


---|hrp|----
Première New sur le site.
Des commentaires, qu'ils soient possitifs ou négatifs seraient appréciés s'il vous plaît. smile


Sixela Postée le 21/07/2006 à 20h32 ~ Commentaires(2)
Ф sixela Ф
[Piéce d'or : 2147483647 ]
Niveau 7

Mutation :
2204 / 2896



L’histoire de Sixela ne commençait pas avant qu’elle eut ses 10 ans. C’est donc a partir de cet instant que le récit commence.

Tout commence le jour ou elle voulue une nouvelle coupe de cheveux, mais sa mère se refusa a l’emmenée chez le coiffeur. Elle se défenda comme elle put fasse aux argument de sa mère, mais étant encore une enfant, elle ne pouvait luttée contre la logique implacable des adultes. C’est à partir de ce jour qu’elle décida de faire attention à ce qu’elle disait, elle serait donc calculatrice, pour son bien. Mais comme elle n’obtenue pas sa coupe de cheveux, elle alla boudée dans sa chambre. Puis après avoir enragée contre sa mère, qui se refusait à ce qu’elle espérait, se mit à imaginée très fort et très longtemps la coupe qu’elle voulait. Apres une bonne heure de concentration pour elle, elle décida d’arrêtée et de sortir. Elle sortie de la chambre et alla sur le canapé. Sa mère en la voyant écarquilla les yeux, puis après le moment de stupeur, commença a hurler sur sa fille. Elle lui demandait pourquoi elle s’était coupé les cheveux, alors qu’elle lui avait interdit. Elle dit à sa mère qu’elle ne s’était pas coupée les cheveux, mais sa mère ne la crût pas. Elle l’emmena devant une glace et lui demanda si elle ne s’était pas coupée les cheveux. Elle vit alors sa nouvelle coupe, exactement celle qu’elle avait imaginée. Après une grande remontrance l’incident fut clos.

Toutefois elle compris malgré son âge qu’elle avait un pouvoir. Elle décida de le mettre à l’œuvre, et de voir jusqu’où elle pouvait aller. Elle commença par modifié ses pieds, tout d’abord la longueur, elle les rétrécit puis les allongea. Elle fit poussez un sixième orteil et vit qu’elle avait un grand pouvoir. Apres un nombre incalculable de test, elle compris comment son pouvoir marchait. Mais toutefois cela lui pris 3 ans.

A l’âge de 14 ans, quand elle commença a entrée dans l’adolescence, elle commença a avoir des conversations houleuses avec ses parents. Après l’une de ces conversation, où elle voulait avoir le droit de sortir, ses parents rejetèrent cette idée en bloc. Et rien que pour les énervées elle décida de changée de forme, elle se transforma en sa mère. Ses parents très choqués par ce qui venait de ce passé, mirent plus d’une heure avant de retrouvé l’usage de la parole et une heure de plus avant de tenir des propos cohérents. Elle comprit qu’elle avait fais une bêtise en leur montrant son pouvoir. Ses parents décidèrent de la dénoncée à la police. Elle avait beau raisonnée, suppliée, criée, hurlée rien ne fit changée d’avis ses parents. Sachant qu’ils feraient ce qu’ils avait dit, elle décida à contre cœur de quittée sa maison qui lui avait apporté tant de bonheur et qui maintenant lui apportait tant de malheurs. Elle fit un baluchon sommaire avec quelques vêtements de la nourriture, de l’eau et une couverture. Elle quitta la maison par la porte arrière sans se retournée malgré son envie.

Elle vécut comme une SDF pendant un certain temps puis se fit abordée par des gens bizarre, elle apprit qu’ils étaient comme elle rejetés de tous, elle décida de les rejoindre, pour les remerciés de l’avoir invitée dans leur antre. Elle fit son éducation auprès de ses sœurs et des ses frères de cœur. A l’âge de 16 ans après qu’elle se soit métamorphosée elle décida d’essayée sur quelqu’un. Elle tenta et réussi a modifié sa silhouette. Elle comprit alors tout le potentiel de son pouvoir, elle pouvait se métamorphosé, ainsi que qui elle voulait, cela serait très utile pour que tous les Morlocks puissent sortir de leur égout. Mais la métamorphose sur autrui ne restait pas plus de 2 heures sur la personne. Elle décida de continué a s’entraînée pour atteindre un niveau de maîtrise supérieur.


Un conte de fée !!! Postée le 21/07/2006 à 12h31 ~ Un seul commentaire
ж Harkange ж
[Piéce d'or : 3095 ]
Niveau 8

Mutation :
3023 / 3823



Partie I : trop tôt!


Cette histoire, n'est pas plus un conte de fée qu'un mythe Olympique ! Juste celle d'un homme qui eut la chance de vivre quelques moments de bonheur dans cette époque où les gens de son espèce ne sont vu que comme une évolution insatisfaisante de l'homme.

Dans la pénombre d'un dispensaire de la banlieue de New York, un soir de Noël, un demi siècle trop tôt! Des hurlements de douleur sortaient d'une pièce qui devait sans doute servir de bloc opératoire, mais où je n'aurais même pas fait piquer ma chienne !

Les cris se turent, puis d'autres : apparurent ceux d'un bébé, puis le bruit caractéristique d'une claque sur une fesse et des pleurs. Tout ça pour le moment paraît normal, nous assistons à un accouchement !

Mais ce qui suit fait froid dans le dos, en tout cas dans le mien !

Des cris d'horreur sortent de cet endroit assez glauque! Puis le bruit d'un pigeon qui bat des ailes se fait entendre. Ce pigeon approche du couloir où je me trouve, les cris deviennent de plus en plus ennivrant et me donnent de plus en plus la chair de poule. Je me recule, je me blottis contre le mur!

Croyant voir apparaître un monstre, mais non, juste un bébé, voletant et virevoltant dans les airs, à peine à quelques centimètres du sol, ratant souvent ses battements d'ailes et risquant à chaque seconde le crash.

Cet être se raproche grandement de moi, s'élève et vient se poser dans mes bras pour s'endormir. Je le regarde quelques secondes et m'aperçois que ce petit enfant vient de naître dans une époque qui n'est pas la sienne...

Les cris ce rapprochent de moi, je relève la tête et je les vois me foncer dessus. Le médecin me hurle dessus, qu'il faut que l'on tue ce Mutant.

Marc, l'agent de sécurité, sort son arme et s'apprête à tirer. L'espace d'une seconde, j'ai l'impression que le temps ralenti et se fige. Cela me laisse le temps de réfléchir, je me souviens de mon enfance, de toute ma vie et j'imagine ce que sera la sienne. Je me dis que ce petit Ange a bien le droit à sa chance lui aussi... Même si aujourd'hui je sais qu'il est tout comme moi né trop tôt!


Partie II : La fuite!


"Qu'ai-je fais?
Je me suis enfui !
Je me suis trahi !!!
Il vont nous tuer mon petit ange !! Ils vont deviner que je suis tout comme toi un mutant et me traquer comme ils le font avec toi!!
Il faut que je te cache dans un endroit sûr ou tu pourra grandir et apprendre à être un vrai Ange de notre seigneur!!"

Je me retourne et je m'aperçois que le temps s'est vraiment arrété ! Dieu semble être du coté de cet enfant. Je continue ma course et me retrouve très vite dans la rue! Mon premier reflexe est de reprendre ma forme originelle pour pouvoir me déplacer plus vite !

Ah oui, j'ai oublié de vous dire, je m'appels Tiraixce et je suis métamorphe. Le seul probleme c'est que je suis né sous forme réptilienne et que je ne peux prendre l'aparence physique de mon père!!

Donc, je fuis ce médecin et ce garde et me retrouve dans la rue avec dans les bras ce petit ange. Je viens de perdre mon travail mais je viens de sauver une vie.

Regardant l'enfant, je ne pense qu'a une chose : lui trouver un lieu pour vivre où il sera en sureté! Et de la me vient l'idée de l'emmener dans le seul lieu qui lui convient parfaitement. L'église du Baptiste du Queens! Le seul lieu au monde où j'ai pu vivre plainement mon adolescence à l'abri de la haine exterieure...


Partie III : Un ange sur une croix !



Je lui ai donné le nom de Faust comme celui de la mort à laquelle il avait échapé! Le prénom de mon Auteur préféré Hugo. Il n'arriva pas à le prononcé correctement avant ses dix ans ! Mais il était trop tard tout le monde l'appelait Hyugo.

Je lui ai apprit à cacher ses ailes du mieux qu'il le pouvait, tout en lui faisant comprendre que c'était lui qu'il ne devait pas en avoir honte, mais que pour sa sécurité il devait les cacher aux yeux des hommes !

Je lui ai donné le baptème, la communion et tout ce qu'il lui falait pour avoir une place assuré au royaumme du père !

L'on m'a appris à être le père des pécheurs, mais l'on ne m'a jamais appris à être le père d'un enfant! J'espère que ma tache aura été accomplie avec succès !!

Quand je le regarde je revois Tiraixce quand il avait son age ! Curieux de tout et heureux de vivre, même enfermé dans un lieu qui ne lui permet de voir la lumière qu'a travers des scènes disposées sur des vitraux.

Pauvre Bougre pour sauver mon petit Ange il a donné sa vie ! Paix à son âme !!

Hyugo, est l'enfant roi dans cet endroit! il passe le plus clair de son temps perché sur la croix à comptempler la voute! Il s'envole des fois pour s'y allonger et regarder d'en haut la vie d'en bas!

Hyugo est vue par tous comme le petit prince du Queens, mais seules les personnes de sa classe savent qui il est vraiment et quel don merveilleux il a reçu.


Passé Commun Postée le 17/07/2006 à 18h32 ~ Commentaires(5)
ж Phoenixios ж
[Piéce d'or : 538 ]
Niveau 5

Mutation :
1489 / 1662



L'homme leva son poing en l'air. Ses compagnons s'immobilisèrent, entourant la maison. On pouvait remarquer à leur tenue et à leur façon de procéder qu'ils appartenaient à l'armée. L'homme continua ses gestes, puis fit un signe de main, indiquant aux autres de se diriger vers le batiment. Le groupe s'avanca lentement, fusil en main, masque sur le visage.

Les deux garçons se chamaillaient. Ils avaient respectivement sept et quatre ans, et leur mère n'en pouvait plus de ces bagarres quotidiennes. Cette fois, le sujet était tout bête. Le cadet voulait absolument s'asseoir à coté de son père pour le repas, ainsi que l'ainé. Les parents, eux, se trouvaient dans la cuisine, en train de préparer le repas.

Au bout de dix minutes, ils revinrent dans la salle manger en portant le souper. Soudain, la porte vola à travers la pièce, projettée par un coup de pied d'une violence monstrueuse.

Avant même de pouvoir réagir, la famille entière se retrouva à même le sol, endormie.Les grenades soporifiques avaient fait leur effet. Un des soldats s'approcha du cadet, braqua sur lui le canon de son arme et se prépara à tirer.

Le commandant de l'expédition fit non de la tête, rappellant au jeune homme que les deux garcons ddevaient être gardés en vie. Le soldat se tourna alors vers les parents. Dans le village, une fusillade se fit entendre. Deux personnes venaient de perdre la vie, ce jour de Novembre 1993.


-Ammenez les moi ici. Là, voilà, mettez les chacun dans une cabine différente.

Le scientifique tentait à nouveau une expérience. Trois soldats se trouvaient face aux cabines. A gauche, deux hommes mirent l'ainé des deux garcons, agé d'à peine 13ans, dans le compartiment. Le scientifique appuya sur plusieurs boutons, fit glisser quelque leviers et regarda le résultat. La température de la cabine se mit à augmenter de façon radicale. Elle en était déjà à 150°. Les soldats observaient la scène, impressioné par le fait que le garcon soit encore vivant. Ils étaient tellement absorbés par l'évènement, qu'ils relachèrent leur attention sur l'autre enfant, agé de 10 ans. Le garcon se concentra, et un mince filet de glace sortit de sa main, gelant par la même occasion celle du soldat qui le tenait. L'homme hurla à la sensation du froid, ce qui fit se retourner les deux autres. Mais derrière eux, la cabine vola en éclats, explosée par l'ainé des deux gosses. Il tendit sa main vers le mur, faisant ainsi fondre la paroi.Il attrapa son jeune frère, qui pour semer ses poursuivants, envoyants des pics de glaces, qui plantèrent les deux Soldats indemnes contre le mur opposé. Les pics s'étaient plantés au dessus de leurs épaules, déchirant le vêtement.Les deux enfants passèrent par le trou formé, sortant à l'air libre. Le bâtiment où ils se trouvaient apparaissait de l'extérieur, comme un Supermarché abandonné. Les garçons se mirent à courir, l'ainé plus rapide se trouvait devant. Le cadet tomba soudain au sol, se relevant assez rapidement, mais remarqua que son frère avait disparu.Celui ci n'avait pas remarqué la chute de l'enfant, et avait continué sa course. Le cadet continua donc à courir, se fondant dans l'obscurité, rendant une quelconque poursuite totalement vaine. Deux mutants vagabondaient maintenant dans la campagne, autour de Washington. Janvier 1999.

---Hrp---
Première New sur ce site, j'attend vos avis smile
Je tient à signaler que l'ainé des deux enfants, c'est moi, et que l'autre, c'est Silveranima
En Rp, nous ne sommes pas au courant que nous sommes frères. Phoenixios a ces deux moments gravés dans la mémoire, mais Silveranima ne se souvient pas de son enlèvement, et a préféré oublier le reste


Rodion Oblominitch Vraahkinov te salue! Postée le 04/07/2006 à 19h49 ~ Commentaires(3)
љ Vraahkinov љ
[Piéce d'or : 1643 ]
Niveau 5

Mutation :
924 / 1662



Dans les sombres ruelles crades des bas-fonds, une réunion avait lieu entre Vraahkinov est Marak, chef du gang des « Furies Noires ». Froid et impénétrable, il ne répondait qu’aux questions nécessaires, sec, tel un maître d’affaires. Le chef de ce groupuscule créer dans les années 90s cherchait à vendre de l’argent aux jeunes mutants, qui, en quête de reconnaissance, donnaient leur tout pour pouvoir accéder à quelque heures d’euphories. Calme, il ne faisait que négocier le prix de la marijuana achetée à Marak, qui voulait toujours vendre plus cher. Ayant laissé ses hommes bien loin de lui, il était équipé d’un arsenal high-tech, sûrement volé à l’armée…

-Tient, voici tes deux cent dollars, j’veux ma dose hebdomadaire, maintenant..

Il étouffa un rictus méprisant, lorsqu’il se rendit compte que Marak, méfiant, lui tendait un sachet contenant sûrement de la marijuana, ayant reçu l’argent. Vraahkinov, tranquille, s’adossa au mur, pensif. Marak, craintif, sentant le danger, il se leva rapidement, puis prit la direction de la sortie, tremblant de rage. Il venait de d’échanger à un mutant dix fois la valeur de ce qu’il venait de donner. Le regard sombre de Vraahkinov se posa soudainement sur la valisette que portait Marak. Une sorte de secousse vint perturber le calme habituel du lieu.

Marak, effrayé, dégaina un pistolet aussi rapide que l’éclair, et visa dans la direction de Vraahkinov, qui, la mine grisâtre, avait déjà prévu ce qu’il allait faire. Calculé, méthodique, Marak n’eut pas le temps de voir la végétation épaisse qui vint l’entourrer. Avec son revolver, Rodion l’acheva. Ensuite, avec le sang de Marak, écrit sur le mur de l’endroit « Rodion Oblominitch Vraahkinov te salue, camarade ». Lorsqu’il entendit les bruits des voitures de polices, il se hâta de partir, le métro se trouvant à quelque pas du local…

Arrivé dans les sombres ruelles de la ville, le jeune homme prit la direction du métro, l’air calme et stoïque, ayant déjà allumé un brin de marijuana. Lorsqu’il s’asseye sur un fauteuil sale, et crade, occupé à décrypter les signaux taggés sur le mur. Par malchance, un voyou vint s’asseoir en face de lui, et lui en demanda.

-Eh, mec, files un peu de shit’..

Rodion se renfrogna. Il grommela certains mots incompréhensibles entre ses dents, et, feignant la confusion, mit sa main dans sa veste, faisant comme si il cherchait de la marijuana, puis, finit par sortir une arme, celle qui avait descendu le dealer. Il le tua d’un coup, sans se préoccuper des bruits lui venant à l’oreille. Il ricana intérieurement, lorsqu’il prit les quelque vingts dollars se trouvant dans la poche du jeune homme. Il changea de siège.

Arrivé à deux arrêts de la baraque de la Confrérie, il entendit des bruits de pas. Des paroles brèves, et des aboiements de chiens. Des flics ! Il se leva rapidement, puis, tenta de sortir par arrière, la mine morose, essayant de se faire discret. Par malchance, un chien reconnut l’odeur de la drogue, et se jeta sur lui. Son réflexe fût d’abattre le chien, ainsi qu’un policier. Les trois autre sortirent leurs armes, cherchant ainsi à le tuer. Il alla se planquer derrière un siège, puis se concentra. Les policiers attendaient toujours une réaction de sa part, sur la défensive. Des secousses successives secouèrent le métro, faisant tomber les trois autres flics. Il les tua un par un.

Ne souhaitant pas traîner dans les lieux, sachant que le métro allait bientôt dérailler, il brisa une fenêtre du métro, et réussit à se jeter au dehors. Sa chute fût amortie par un tas de feuilles qui venaient de quitter les arbres se trouvant en surface. Il venait d’échapper à la mort. Deux kilomètres plus loin, le métro dérailla, provoquant la mort d’une quinzaine de personnes, Vraahkinov était déjà devant la maison de la Confrérie..


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